Voilà pour vous un petit peu d'histoires drôles. Je suis curieuse de voir combien d'entre vous va comprendre la dernière
Vous êtes-vous déjà senti coupable de regarder des gens de votre âge et de penser : "Je ne peux pas paraître aussi vieux !"
Alors, vous allez adorer celle-ci.
J'étais assise dans la salle d'attente pour mon premier rendez-vous avec un nouveau dentiste quand j'ai remarqué que son diplôme était accroché sur le mur.
Il y était inscrit son nom et je me suis soudain remémoré un grand brun portant ce nom.
Il était dans ma classe de lycée quelques 40 ans auparavant et je me demandais si cela pouvait être le même garçon pour qui j'avais craqué à l'époque ??
Quand je suis entrée dans la salle de soins, j'ai immédiatement écarté cette pensée de mon esprit.
> > > Cet homme grisonnant, dégarni et le visage marqué de profondes rides était bien trop vieux pour avoir été mon amour secret ..
Quoique... Après qu'il eut examiné ma dent, je lui ai demandé s'il était allé au lycée Henry IV.
"Oui", m'a-t-il répondu.
"Quand avez-vous eu votre bac ?", ai-je demandé.
"1972. Pourquoi cette question ?"
"Eh bien, vous étiez dans ma classe", me suis-je exclamée.
Et c'est là que cet affreux vieux con m'a demandé :
"Vous étiez prof de quoi ?"
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Pourquoi cette expression :"La peau des couilles"?
Voilà l'histoire réelle d'une expression connue de tous, mais très souvent mal orthographiée. Par un beau jour d'automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations forestières, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.
Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.
A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Marcel Écouille, se présenta au château clamant à qui voulait l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait. Il obtint sans peine une audience auprès du noble seigneur et s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.
Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau) et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.
A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toutes sortes s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.
Le duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors des ses futures chasses. Il s'éclaircit la gorge et ne prononça qu'une seule phrase :
- Combien cela va-t-il me coûter?
Marcel Écouille, sûr de lui, répondit qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur. Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.
La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché.
Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en paya le coût sans broncher.
Ainsi, cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :
«Ca coûte l'appeau d'Écouille» (l'appeau est un instrument utilisé à la chasse pour produire un son particulier attirant les oiseaux ou le gibier) ET NON PAS “LA PEAU DES COUILLES”.
Un peu de culture, ne peut pas faire de mal…
N'oublions pas : “la culture c'est comme la confiture, moins on en a, plus on l'étale”.
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Le succès à 2 ans :C'est de ne pas faire dans sa culotte.
Le succès à 3 ans :C'est d'avoir des dents.
Le succès à 12 ans :C'est d'avoir des amis.
Le succès à 18 ans :C'est d'avoir le permis de conduire.
Le succès à 20 ans :C'est de bien faire l'amour.
Le succès à 35 ans :C'est d'avoir de l'argent.
Et puis ça repart dans l'autre sens !!!
Le succès à 50 ans :C'est d'avoir encore de l'argent.
Le succès à 60 ans :C'est de faire encore l'amour.
Le succès à 70 ans :C'est d'avoir encore le permis de conduire.
Le succès à 75 ans :C'est d'avoir encore des amis.
Le succès à 80 ans :C'est d'avoir encore des dents.
Le succès à 85 ans :C'est de ne pas faire dans sa culotte.
Et c'est tellement vrai !!!
Ne rigole pas,ton tour arrive !
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Après avoir bu sa dernière bouteille de vin, Arturo vit ses derniers instants.
Il est à l'hôpital et reçoit la visite de tous les siens, voisins, les amis y compris.
A tous, il raconte qu'il a le sida et qu'il va mourir de cette maladie terrible.
Son fils, Angelino est près de lui à l'hôpital, il ne le quitte pas une seconde, mais lorsqu'il se trouve enfin seul avec son père, il l'interroge étonné :
- « Papa, pourquoi dis-tu à tout le monde que tu vas mourir du sida alors que tu sais très bien que c'est le cancer que tu as ?
-« Laisse-moi faire, mon petit, une fois mort, personne n'osera baiser ta mère !
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Quand Bruxelles brusselait......
Salut en ne dikke baise à toutes et à tous !
Une historiette écrite par une bruxelloise en "belge", langue qui ressemble à du français mais que nos amis Français auront sans doute du mal à comprendre..
« Hier je suis sortie de chez mes parents parce que j’avais oublié un brol dans mon kot. Mais comme une klette je n’avais pas vu qu’il drachait. Il faisait même cru. D’habitude je mets mon pinemouche mais alors il fait vite douf, et mes crolles sont na de klûtes.
Ma mère occupée à nettoyer le tapis plain devant le feu ouvert m’avait dit de passer aussi chez le charcutier.
Je n’aime pas ce peï, mais son ket a un boentje pour moi. Il est un peu stoeffer, mais je m’en fous de ce zievereer. Ce tich peut raconter toutes les klûtes qu’il veut, ça ne changera rien.
Bon, en passant par la drève, je m’arrête d’abord au café, car j’avais envie après un cécémel. Un copain à moi était juste en train de remettre une drache à toute la bande.
Et pour ne pas qu’ils zwanzent après moi, je suis restée.
Je ne peux pas dire qu’en sortant j’étais krimineilscheilzat parce que je sais là-contre, mais j’avais quand même une bonne douffe.
Pas autant que le pauvre sukkeleir qui marchait schief devant moi : un zinneke lui a couru dans les guibolles, il a fait un cumulet, a perdu une slache, et klett’ Mariette, il a renversé une meï qui est tombée sur son pèt’ et on voyait tout son cinema. Ils sont repartis comme deux qui wighel-waghel.
Bon, j’arrive en vue de la charcuterie, mais je m’arrête d’abord au bollewinkel du coin pour avoir des boules sûres. Puis au boulanger pour acheter des pistolets, des couques et du bodding. Et j’ai hésité avec un cramique , mais fourt’.
Chez le charcutier, il me dit : « Ecoute, maske, j’ai plus de tête pressée, mais j’ai du kip-kap ».
Je prends aussi un pain français avec de l’américain et de l’andalouse et un ravier de plattekeis tout près, et je rentre chez moi.
Ma mère, sans sa loque à reloqueter, mais avec un essuie d’une main et une raclette de l’autre faisait blinquer ses carreaux, mais elle était contente que j’avais rien oublié, alors elle m’a donné une baise et même une dringuelle. »
Si vous avez tout compris, vous pouvez venir à Bruxelles sans crainte. Sinon, venez-y quand même, les Bruxellois feront un effort !